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Revue de presse centre de santé 2023
Quel traitement pour le centre de santé de Guingamp, saturé cinq ans après son ouverture ?L’activité ne faiblit pas au centre de santé de Guingamp. Ouvert pour pallier la pénurie de médecins généralistes, il y a cinq ans, ce service affiche complet. Mais espère rouvrir à d’autres patients, à condition de recruter. https://www.ouest-france.fr/bretagne/guingamp-22200/Naissance d’un centre de soins non programmésL’idée germait depuis plusieurs mois. A l’initiative de plusieurs professionnels de santé, le projet de création d’un centre de soins non programmés était en gestation, mais pendant des mois, le projet n’avait pas reçu d’écho. Pour bien comprendre, un centre de soins non programmés, c’est une unité médicale qui permet de traiter les urgences "relatives", et donc de soulager les urgences, souvent engorgées, mais aussi la maison médicale et la médecine de ville. Il faut savoir que des milliers de Bigourdans sont encore sans médecin traitant. Un projet qui nécessitait l’appui d’une collectivité locale, pour exister, notamment sur le plan juridique. Lors de la session plénière du Département, Michel Pélieu a annoncé que l’assemblée départementale avait décidé d’être ce support indispensable. "Ce centre de santé ouvrira ses portes dès lundi 11 décembre, sur le site de la clinique de l’Ormeau, par la volonté d’un collectif de professionnels de santé, soutenu par l’ARS et la CPAM, avec l’appui de la Mutualité Française. Bien sûr, sa création ne fait pas partie de nos compétences, mais nous avons, en quelque sorte, une obligation morale en la matière." Ce centre, unique en France (il combinera retraités, libéraux, internes), sera opérationnel dès lundi, avec, a minima, une dizaine de professionnels de santé pour y officier. https://www.ladepeche.fr/2023/12/09/Naissance d’un centre de soins non programmésDans un message posté ce mardi sur les réseaux sociaux, l’Assistance publique Hôpitaux de Marseille (AP-HM) annonce récupérer la gestion du centre de santé “Global Soins Innovation (GSI)”, situé avenue Marcel-Paul à Aubagne, après une décision du tribunal judiciaire de Marseille prononcée en ce sens mardi 28 novembre. Ouvert en 2013, le centre a d’abord été un centre infirmier avant d’étendre ses compétences à la médecine générale. Il avait été placé en redressement judiciaire en juillet dernier, avant que le tribunal administratif n’acte sa reprise.L’AP-HM a fait de l’ouverture de ces types de structures son cheval de bataille afin de lutter contre la désertification médicale. Sur fond de partenariat renforcé avec le centre hospitalier Edmond-Garcin d’Aubagne, cette opération de reprise vise à développer l’offre de soin de premier recours. “Le tribunal a jugé la proposition de l’AP-HM comme la plus à même d’assurer la reprise de l’activité et de développer l’offre de soins pour la population d’Aubagne mais notamment envers les personnes en difficulté ou isolées, cœur de l’activité du centre de santé”, précise l’Assistance publique dans son annonce. Face à l’AP-HM, se trouvaient deux autres offres de reprises, celle d’un poids lourd des centres médicaux privés (le groupe Ramsay Santé) et celle de la fondation Hôpital Saint-Joseph. Avec son jugement, le tribunal a donc fait le choix du service public. https://www.ladepeche.fr/2023/12/09/ Quel traitement pour le centre de santé de Guingamp, saturé cinq ans après son ouverture ?Aucun conventionnement pour l’installation d’un nouveau centre de santé dentaire dans les zones non-prioritaires ne sera désormais possible, les centres de santé dentaire et les centres de santé polyvalents avec activité dentaire installés dans ces zones ne pourront recruter et augmenter leurs effectifs de chirurgiens-dentistes salariés.Cet avenant permet ainsi de concrétiser l’objectif d’une meilleure répartition de l’offre de soins dentaire sur le territoire. Avec cet accord, l’ensemble des conditions sont ainsi remplies pour permettre la mise en œuvre du dispositif de régulation pour les chirurgiens-dentistes libéraux. Au-delà des mesures permettant l’amélioration des conditions de prises en charge des patients, les parties signataires reconnaissent la nécessité de soutenir le déploiement des centres de santé. Elles s’engagent ainsi à rediscuter et réétudier le modèle économique des centres de santé, notamment polyvalents, dans le cadre d’une nouvelle négociation qui s’ouvrira au cours de l’année 2024. Pour Thomas Fatôme, Directeur général de l’Uncam et de la Cnam : " Aujourd’hui, on compte plus de 3 135 centres de santé conventionnés sur le territoire, la signature de ce nouvel avenant permet des avancées importantes : d’une part, une meilleure répartition réelle de l’offre de soins dentaire sur le territoire en intégrant l’ensemble des professionnels de santé concernés selon des règles collectives et partagées, d’autre part, la poursuite de la reconnaissance de leur rôle majeur pour une prise en charge coordonnée des patients, en valorisant leur exercice pluri-professionnel. » https://www.ouest-france.fr/bretagne/guingamp-22200/ Nous, soignants : Le métier d'une vieDes sages-femmes, des aides-soignants, des médecins, des infirmiers partout en France prennent la parole. "Nous, soignants" propose une immersion dans leur quotidien et dans leur intimité. De la première blouse enfilée aux souvenirs les plus forts traversés avec les patients, ces paroles racontent une vie consacrée au soin et permettent de dresser un état des lieux du système de santé. À bout de souffle, les soignants n'en sont pas moins attachés à leurs métiers et ont envie de dire la beauté de leur quotidien : les victoires sur la maladie, le premier cri d'un nouveau-né, le dernier souffle d'un patient accompagné dignement. https://www.france.tv/france-3/nous-soignantsQu'est-ce qu'un centre de santé communal ?Le centre de santé communal de Bons-en-Chablais a ouvert ses portes mercredi 15 novembre 2023. A la différence des maisons de santé, où les médecins exercent en libéral, ici, ils sont employés par la commune. Une solution qui permet de lutter contre la désertification médicale. https://www.lemessager.fr/videos/Un centre de santé sexuelle à Brest « pour améliorer la qualité de vie »Le centre de santé sexuelle a changé de nom en mars 2022, il s’appelait auparavant centre de planification et d’éducation familiale. À Morvan, où nous sommes basés, nous sommes plusieurs professionnels à y travailler : trois médecins, dont deux sexologues, deux sages-femmes et deux secrétaires. Nous proposons des consultations médicales à destination de patients lors desquelles nous pouvons aussi bien évoquer la contraception, la prévention, le dépistage d’infections sexuellement transmissibles… Nous pouvons aussi recevoir des couples en difficulté ou en demande d’échanges avec un professionnel. Il faut savoir que pour toutes les personnes qui se posent des questions liées à la santé sexuelle et affective, le centre de santé sexuelle est un lieu sécurisant où la porte est ouverte à chacun et pensé pour les recevoir ». https://www.letelegramme.fr/finistere/brest-29200/Naissance d’un centre de santé associatif dans le SarladaisIrène, militante et infirmière, revient sur une aventure militante exceptionnelle : la création d’un centre de santé associatif à Sarlat. Un exemple pour nous toutEs ! https://lanticapitaliste.org/opinions/sante/Centre de santé : des tentatives de « débauchage » de médecins qui irritentLancé en 2019, le Centre départemental de santé salarie aujourd’hui 73 médecins. Et il continue de chercher à recruter. Mais dans les autres départements, certains médecins libéraux s’irritent aujourd’hui de tentatives de débauchages de la Saône-et-Loire qu’ils jugent « inacceptables ». https://www.lejsl.com/sante/2023/10/03/La HAS actualise son référentiel de certification pour 2024A compter du 1er janvier 2024, les visites de certification des établissements de santé de la Haute Autorité de Santé seront réalisées avec un référentiel actualisé. Pour repère, à septembre 2023, la HAS a délivré 1023 certifications. https://www.santementale.fr/2023/09/Désertification médicale : création d’un centre de santé départementalUne étude commandée par le conseil départemental des Alpes-de-Haute-Provence, met en exergue le manque de médecins dans le département. Pour lutter contre le phénomène, le conseil a décidé d'ouvrir un centre de santé l'année prochaine. https://www.ledauphine.com/sante/2023/09/17/Accusé de "fraude" ce centre de santé d'Orléans perd son procès contre la Sécurité socialeAccusé lui aussi de "fraude", le centre de santé Alliance Vision d'Orléans (Loiret) perd son procès contre la Sécurité sociale. https://actu.fr/centre-val-de-loire/orleans_45234/Un nouveau centre de santé s’installe aux Sables-d’Olonne… dans une galerie commercialeUn nouveau centre de santé a ouvert ses portes lundi 4 septembre 2023, aux Sables-d’Olonne (Vendée). Insolite : il se situe dans la galerie commerciale Océanes (Super U). https://guingamp.maville.com/actu/Santé : trois centres mutualistes passent sous pavillon départementalDepuis le 1er juillet, les centres de santé polyvalents de Nevers, Imphy et Chantenay-Saint-Imbert arborent les couleurs du Centre de santé départemental. Les trois établissements créés par la Mutualité française bourguignonne (VYV 3 Bourgogne)ont en effet été repris par le Conseil départemental, qui vise désormais leur montée en puissance avec le recrutement de spécialistes. https://nievre.fr/2023/07/12/L’Assurance Maladie tire la sonnette d’alarme sur le rôle grandissant des fonds d’investissement dans le monde de la santé.Le scandale Orpea sur les maisons de retraite l’an dernier a pu montrer le risque que pouvait comporter le fait de confier des missions sanitaires et sociales à des groupes privés. La recherche de la rentabilité et du profit n’est pas forcément compatible avec une prise en charge et des soins de qualité. Cette financiarisation et ce rôle grandissant de fonds d’investissement ne se limitent pas au domaine des maisons de retraite et le secteur de la santé à proprement dit est également touché.Dans deux entretiens récents, l’un au journal Les Echos ce lundi, un autre à RMC ce mardi, le directeur général de la Caisse nationale d’Assurance Maladie (CNAM) Thomas Fatôme souhaite alerter sur les risques d’une trop grande financiarisation de la santé, c’est-à-dire « la situation dans laquelle on a des investisseurs privés, souvent des fonds d’investissement, qui vont prendre le contrôle d’une offre de soins, détenue jusque là par des professionnels de santé ». La biologie et la radiologie cibles privilégiées des investisseursL’énarque a notamment pris l’exemple de la biologie médicale, dont 60 % de l’activité est désormais détenue par six grands groupes financiers, à la suite d’un mouvement de concentration dans les années 2010 « que l’on n’a pas vu venir ». Une financiarisation qui a notamment posé un problème en début d’année lorsque l’Assurance Maladie a souhaité baisser les tarifs de la biologie médicale, décision qui a provoqué une grève des biologistes. « Cela a montré que dans la biologie, il y avait eu des rachats de laboratoires à des niveaux de valorisation très élevés et les investisseurs ne voulaient donc pas baisser les tarifs pour ne pas perdre leur rentabilité ».Après la biologie, la financiarisation touche désormais le secteur de la radiologie et Thomas Fatôme appelle les radiologues à « la plus grande vigilance » face au nombre grandissant de centres de radiologie rachetés par des fonds d’investissement. « 10 à 15 % des cabinets de radiologie sont désormais dans les mains d’acteurs financiers, il faut que cela s’arrête » abonde dans le même sens le Dr Jean-Philippe Masson, président de la fédération nationale des médecins radiologues. Des fonds qui ne rechercheraient parfois que la rentabilité au détriment des soins à apporter aux patients. « Certains cabinets se voient demander de multiplier certains examens qui sont mieux rémunérés au détriment d’autres qui le sont moins, les fonds financiers imposent des objectifs de croissance du chiffre d’affaires de 5 % aux cabinets, alors que la croissance moyenne du secteur n’est actuellement que de 1 à 2 % au grand maximum » dénonce ce radiologue. Créer des « verrous et des garde-fous »Si le directeur général de la CNAM reste assez mesuré dans ses propos, le Dr Jérôme Marty, président de l’Union française pour une médecine libre (UFML), connu pour son franc parler, n’hésite pas à critiquer ces groupes financiers qui « sont des fossoyeurs de la médecine dont le seul but est de faire du fric sur la misère sanitaire et vont pérenniser les déserts médicaux et la médecine low cost avec la bénédiction du service public ». Dans son viseur notamment, le développement de la télémédecine, la SNCF ayant récemment lancé un appel d’offres pour équiper 1 735 gares de cabines de télémédecine. On se souvient qu’il y a peu, la création d’une offre de téléconsultation par abonnement par le groupe Ramsay, qualifié de « Netflix de la santé », avait suscité la polémique.Attention tout de même à ne pas tomber dans l’excès inverse : il n’est pas question de nationaliser le secteur de la santé qui a « besoin d’investisseurs privés » rappelle Thomas Fatôme. Concrètement, il appelle à la création d’une mission de contrôle « qui réunit des experts car ce sont des sujets très compliqués » et à la mise en place d’un observatoire de la financiarisation de la santé. Il souhaite également que la loi vienne apporter de nouveaux « verrous et garde-fous » pour s’assurer que les centres de santé restent le plus possible la propriété des professionnels de santé. Une décision de justice récente devrait conforter cette volonté d’éloigner les fonds d’investissement du secteur du soin, même si elle ne concerne pas la médecine humaine. Le Conseil d’Etat a en effet décidé ce lundi qu’une clinique vétérinaire ne pouvait pas être détenu à plus de 50 % par des fonds d’investissement ou par des vétérinaires qui n’y exercent pas leur activité, sous peine d’être radié par l’Ordre des vétérinaires. https://www.jim.fr/medecin/actualites/pro_societe/ Lyon 3e. Le centre de santé Sévigné ferme, au désespoir des soignantsC’est une institution médicale lyonnaise qui disparaît. Créé en 1818, le Centre de santé Sévigné, situé à deux pas de la Préfecture (Lyon 3e), fermera ses portes début 2024. En grève ce jeudi 6 juillet, le personnel de la structure qui emploie une soixantaine de personnes dénonce, à coup de banderoles, la vente du bâtiment décidée en avril dernier.« On va augmenter la désertification médicale à Lyon, on va perdre des patients en route, c’est certain », s’inquiète André-Marc Sirot, médecin généraliste et délégué syndical. Géré par la fondation Dispensaire général de Lyon depuis 1854, le Centre réalise près de 100 000 consultations (médecine générale et spécialisé, dentaire, sage-femme, ostéopathe..) par an. Reconnu d’utilité publique, il permet aux plus précaires d’avoir accès aux soins sans dépassement d’honoraires. Près de 30 % des patients sont ainsi des bénéficiaires de la complémentaire santé solidaire. https://tribunedelyon.fr/societe/ Un centre de santé polyvalent ouvre en août au centre commercial Quartier Libre de LescarLe groupe SoMeD Santé, qui possède déjà une quinzaine de centres de santé en France, va s’installer au centre commercial Quartier Libre de Lescar. Son centre de santé ouvrira au mois d'août. À terme, il comptera une vingtaine de soignants. https://www.francebleu.fr/infos/economie-social/Centre de santé sexuelle de l’Aube : parce que ce n’est pas toujours facile d’en parler avec ses parents…Consentement, contraception, MST, sexualités, violences, tests de grossesse : le centre de santé sexuelle, installé à Troyes, accueille gratuitement et sur rendez-vous pour aborder en toute confidentialité les questions de l’intimité. Le public est majoritairement jeune, entre 15 et 19 ans https://www.lest-eclair.fr/id494744/article/2023-06-17/REPORTAGE. De la puberté à la ménopause : Jeen, le nouveau centre de santé dédié aux femmes à ParisValentine Burucoa et Isabelle Verguin ont créé Jeen. Un centre médical dédié à la santé des femmes dans le 11e arrondissement de Paris.Pousser la porte de Jeen, c’est pénétrer dans un gynécée en plein cœur de Paris. À l’heure où les langues se délient sur les violences gynécologiques et obstétricales, ses deux fondatrices tentent de regagner la confiance des femmes pour les accompagner de la puberté à la ménopause. Reportage dans le premier centre créé par Valentine Burucoa et Isabelle Verguin, qui regroupe sages-femmes, gynécologues, médecin, et aussi psychologue, ostéopathe et doula. https://actu.fr/ile-de-france/paris_75056/ Albi : ouverture du premier centre de santé français uniquement tenu par des médecins retraitésPour le moment, huit médecins retraités travaillent au sein de ce centre de santé. Ils seront 13 à la fin de l’été. https://www.francetvinfo.fr/sante/Saint-Egrève : un centre de santé au pied d'un nouvel immeuble d'habitation ouvrira début 2025Le promoteur Imaprim a démarré la construction d'un immeuble de logements rue de la Gare à Saint-Egrève. Au rez-de-chaussée sera aménagé un centre de santé géré par une association cofondée par la Ville de Saint-Egrève. https://mesinfos.fr/38120-saint-egreve/L’encadrement plus strict des centres de santé ophtalmologiques entre en vigueurCette loi vise à mettre fin aux abus des centres de santé ophtalmologiques et dentaires, qui se développent et débouchent désormais sur des déconventionnements. Il rend obligatoire l’agrément de l’ARS pour tous ces établissements, ainsi que pour les centres orthoptiques, qu’ils soient nouveaux ou déjà en activité. Cet agrément, qui « vaut autorisation de dispenser des soins », est attribué (ou refusé) sur la base d’un dossier intégrant notamment les déclarations des liens d’intérêts des membres de l’instance dirigeante et les contrats liant l’organisme gestionnaire à des sociétés tierces (le dirigeant ne pourra pas exercer sa fonction en cas d’intérêt direct ou indirect avec des entreprises privées délivrant des prestations rémunérées à la structure gestionnaire). L’agrément est provisoire, il devient définitif 1 an après l’ouverture du centre. Son maintien est par ailleurs conditionné à la transmission immédiate, à chaque embauche, des contrats de travail et des diplômes, à l’ARS et au conseil départemental de l’Ordre de la profession concernée. L’agrément peut être retiré en cas de non-respect des règles applicables aux centres de santé ou de manquements compromettant la qualité ou la sécurité des soins.Ensuite, le texte contraint les centres ophtalmologiques à se doter d’un comité médical rassemblant l’ensemble les médecins exerçant dans le centre. Il se réunit au moins un fois par trimestre, est chargé de contrôler la qualité et la sécurité des soins, et doit informer les ARS en cas de manquement. Les professionnels de santé exerçant dans un centre de santé doivent être également identifiés par un numéro personnel distinct du numéro identifiant la structure. Les comptes du centre de santé doivent désormais être certifiés par un commissaire aux comptes et le paiement intégral anticipé des soins non encore dispensés est interdit. Si les centres de santé manquent à leurs obligations et ne respectent pas l’injection de l’ARS, ils encourent une amende administrative pouvant aller jusqu’à 500 000 € (contre 150 000 € auparavant) et une astreinte journalière de 5 000 € (vs. 1 000 €) peut être prononcée avec publication sur les sites internet des autorités sanitaires et du centre de santé. Enfin, un registre national des suspensions et des fermetures sera créé pour permettre aux ARS de vérifier les antécédents des gestionnaires. https://www.opticien-presse.fr/2023/05/22/ Faux centres de santéNous manquons de médecins ce qui entraîne un manque de disponibilité et des difficultés pour obtenir des rendez-vous. Dans ce système libéral reposant sur la liberté d’installation, la nature a horreur du vide. Certains l’ont bien compris, notamment des investisseurs qui considèrent la santé comme une activité marchande. Là aussi, les premiers scandales apparaissent. https://blogs.mediapart.fr/christophe-prudhomme/blogDans ce centre autogéré, on soigne maladies et inégalitésEt si la santé passait d’abord par le fait de bénéficier de conditions de vie décentes ? C’est le pari de La Case de Santé, un centre de santé communautaire et autogéré, installé dans un quartier populaire à Toulouse. https://reporterre.net/
Pour désengorger les services hospitaliers et permettre aux médecins généralistes de donner des consultations en soirée et les week-ends, les équipements de santé parisiens resteront accessibles en dehors de leurs horaires d'ouverture.
Paris fait face à une répartition très inégale des professionnels de santé sur son territoire, ainsi qu'à leur vieillissement : 41 % des médecins spécialistes et 37 % des médecins généralistes ont 65 ans ou plus. Pour répondre aux problématiques actuelles d’accès aux soins et aux perspectives préoccupantes de la démographie médicale, Paris favorise le maintien et le développement d’une offre de soins de premier recours accessible sur tout son territoire et notamment dans les zones déficitaires. Dans le cadre d'une dynamique de refonte de la médecine ambulatoire, elle favorise les formes coordonnées et regroupées de l’exercice médical dans toute leur diversité : centres de santé (associatifs, mutualistes, municipaux), maisons de santé, cabinets libéraux en exercice collectif. Paris participe aussi à l’optimisation de l'accès à l’offre de soin, notamment en soutenant une offre de ville qui limite le recours aux urgences hospitalières. En effet, le récent rapport d’information du Sénat de mars 2022 « sortir des urgences » précise que le nombre de passages aux urgences a doublé entre 1992 et 2019, passant de 10,1 millions à 21,2 millions. Des plages de soins non programmés sont notamment organisées dans les centres de santé de la Ville et des partenariats sont noués avec les acteurs du 1errecours pour faciliter l’implantation de leur activité sur le territoire parisien. https://www.paris.fr/pages/ Fraude à l’Assurance maladie : trois nouveaux centres de santé sanctionnés, le remboursement des soins réduitFraude à l’Assurance maladie : trois nouveaux centres de santé sanctionnés, le remboursement des soins réduitL’administration soupçonne ces centres d’ophtalmologie et dentaire des Hauts-de-Seine d’avoir facturé des actes fictifs pour un montant global de 1,7 million d’euros. Une nouvelle loi vise à resserrer la vis sur l’installation de ces structures qui se multiplient, parfois soupçonnées de pratiques douteuses envers les patients et la Sécurité sociale. https://www.leparisien.fr/hauts-de-seine-92/ Les députés votent un encadrement plus strict des centres de santéCe tour de vis était attendu par les collectifs de patients. Afin de lutter contre de possibles dérives. Le Sénat a adopté définitivement, ce mardi, un texte encadrant plus strictement les centres de santé. Ces derniers devront avoir reçu un agrément préalable des agences régionales de santé (ARS) pour assurer des soins dentaires ou ophtalmologiques. https://www.lesechos.fr/economie-france/social/En Brière, une association ouvre un nouveau centre de santé pour améliorer l’offre de soinsPour pallier un manque de soignants dans la commune de Saint-Joachim, un nouveau centre de santé associatif ouvre ses portes. À partir du 10 mai, il accueillera des patients sur place et réalisera des soins à domicile. https://www.ouest-france.fr/pays-de-la-loire/saint-joachim-44720/Pour des centres de santé durables au bénéfice des patients !Dans ce contexte, la Mutualité Française comprend le souhait des parlementaires d’encadrer l’activité de ces centres pour autant que les mesures proposées soient conformes aux objectifs poursuivis et ne créent pas des contraintes qui pénalisent les centres vertueux sans avoir d’impacts sur les centres déviants. Il en va ainsi de la réintroduction d’une autorisation préalable à l’ouverture des centres de santé dont il convient de rappeler qu’elle avait été supprimée car les Agences régionales de santé manquaient de moyens pour assurer cette mission.Une meilleure utilisation des moyens de contrôle existants aurait sans doute pu rendre superflue cette nouvelle loi, comme le montre le déconventionnement récent de deux centres de santé par l’assurance maladie. Dans le même temps, et alors qu’ils répondent aux attentes et aux besoins de santé des assurés (90% des patients soignés dans les centres de santé mutualistes sont satisfaits de leur prise en charge [2]), la Mutualité Française regrette que la proposition de loi ne recherche pas à améliorer leur santé économique. Ils sont nombreux à connaitre des difficultés financières, même ceux fréquentés par une large patientèle. Cet hiver, un centre de santé parisien fréquenté par 75 000 patients/an a été placé en liquidation judiciaire. Aujourd’hui, les modalités de financement des centres de santé ne prennent pas en compte leurs spécificités liées notamment à l’accueil des patients défavorisés nécessitant un accompagnement dans l’accès aux soins et à la coordination des professionnels. Bien plus, la proposition de loi vient renforcer des iniquités de traitement persistantes entre les centres de santé et les structures libérales, notamment les structures d’exercice coordonné. Par exemple, les centres de santé et les professionnels qui y travaillent sont souvent oubliés dans les dispositifs d’aide bénéficiant aux autres professionnels de santé ou aux établissements de santé en général. Plutôt que d’entraver l’activité de tous les centres de santé, à rebours de l’objectif initial, il eût été préférable de renforcer les conditions d’exercice des centres de santé vertueux, en soutenant le développement de leurs missions d’intérêt public et en assurant la soutenabilité de leur modèle économique. Si rien n’est fait par les pouvoirs publics pour pérenniser le modèle économique des centres de santé, demain, peu de français pourront accéder à des consultations sans dépassements d’honoraires et pratiquant le tiers payant. Plutôt que de complexifier leur fonctionnement, Il est donc bien plus urgent de reconnaître et consolider durablement la valeur ajoutée des centres de santé en leur apportant les outils et moyens nécessaires à leur activité. https://www.mutualite.fr/actualites/">https://www.mutualite.fr/actualites/ Marseille : « Il faut que vous repartiez avec de la colère » Le message du directeur de l’AP-HM au ministre de la Santé« On peut faire pareil dans les quartiers à Paris ou dans les milieux ruraux », ajoute François Braun, qui s’est aussi rendu au Phare des sourires, un centre d’accueil pour les enfants malades du cancer, et au centre de santé ouvert par l’AP-HM au cœur de la cité des Aygalades. « Je suis venu voir à Marseille des originalités, des choses mises en place pour répondre aux besoins de santé, des initiatives marseillaises qui font figure d’exemple », poursuit le ministre. Il dit avoir vu « tout l’intérêt de la médiation en santé ». Une mission va être confiée sur le sujet au Dr Philippe Denormandie. https://www.20minutes.fr/societe/François Braun lance le volet santé du CNR en RégionLa gestion par la mutuelle uMEn du centre de santé, qui s’était retrouvé déficitaire d’un à deux millions par an, avait été dénoncée par les syndicats. Ont été notamment pointés du doigt les investissements massifs concédés dans la rénovation des locaux.Laurent Joseph, le président d’uMEn, a déclaré dans un communiqué se « réjoui[r] de cette reprise », tout en mettant de nouveau en cause « la nécessité de revoir les modèles de financement pour pérenniser en France l’accès à des soins au tarif conventionné sans dépassement d’honoraires, avec prise en charge du tiers payant ». https://www.lamarseillaise.fr/politique/ Un centre de santé "holistique" des Bouches-du-Rhône est au centre d'une vaste enquête parue dans "La Provence"Un centre de santé "holistique" des Bouches-du-Rhône est au centre d'une vaste enquête parue dans "La Provence", ce mardi. Ce dernier est visé par une vingtaine de plaintes pour escroquerie et exercice illégal de la médecine. Le dossier est également entre les mains de la Miviludes, chargée des dérives sectaires https://www.tf1info.fr/ Pour pouvoir commenter la feuille de santé, il faut tout d'abord se connecter et pour cela, si ce n'est pas encore fait, créer un compte
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